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Into the wild...

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Nous étions partis pour une bonne année (voir plus) à travers le monde afin de se former à une vie au plus profond de la nature. Mais la vie en a décider autrement et en à peine 5 mois, suite à nos divers rencontre aussi improbable qu’ incroyable, on se sent déjà prêts à se lancer dans la nature en “mode léger”.

Après la Roumanie et la vie en pleine nature, nous avons continuer sur la même lancée en Grèce.

Après un bref passage en Bulgarie où nous avons trouvé un super point d’attache à Sofia, nous avons rejoint la Grèce. Nous avons souhaiter bonne route à Krishna et c’est en famille que nous avons pris la train pour Thessalonique depuis sofia. Après un autre train direction Alexandropoulis, nous avons pris le ferry pour SamOthrakis.

Dès notre arrivée, à peine le pieds posé sur la terre ferme, nous fument pris en stop par un couple franco-grecque qui nous conduisit au camping gratuit (et oui ça existe encore, les choses gratuites) de l'île. Camping gratuit et désert en basse saison, mais surtout en pleine nature. Un peu une vision de ce que nous nous faisons du futur de l’humanité, un mélange de nature et de récup de ce qui fut jadis créé. Nous étions à peine huit dans le camping, nous 5 y compris. Très vite nous nous sommes lié d’amitié avec Valentino et Dogu. Dogu nous proposa assez vite d’aller chasser la chèvre sauvage dans la foret, pour notre plus grand plaisir. Les enfants se rendirent d’abord avec Daphnée pour tuer leur première chèvre et ainsi faire face à la réalité de tuer un animal à main nue et de se fait prendre sa vie pour se nourrir. Dogu fut impressionné par les enfants, impassible mais attentifs lors de la mise a mort de l’animal par égorgement. Nous n’avons pas chasser au fusil, mais bien au couteau. Leela reçu le cœur de l’animal pour sa première chasse et le courage dont elle a fait preuve. Dogu nous enseigna aussi comment tanner les peaux, choses que nous désirions apprendre depuis longtemps.

J’ai décidé dans le prochain paragraphe de partager avec beaucoup d’émotion l’histoire de la mise à mort de mon premier animal :

Ma première chasse fu en solitaire avec notre ami Dogu. 4 jours qu’il n’avait pas manger et le gibier se faisait rare. Après une première chèvre vite attrapée, mais très âgée et très maigre, nous décidâmes de la laisser partir. Il nous fallu plusiseurs heures avant de reperer un troupeau de mouton. Affamé et affaibli par la marche, nous n’avions pas vraiment le droit à l’erreur. Grace a une manœuvre habillement orchestrée par mon ami, nous avons réussis a attraper notre proie. Dogu approcha le troupeau de moutons très discrètement et je contournai ce dernier afin de les rabattre vers lui. A bout d’énergie Dogu attrapa l’animal dans la confusion la plus totale.

Après un court instant, je le vis apparaître au milieu des arbres avec un magnifique mouton bien gras…tout cela dans un cadre magique entre rivières et vieux arbres.

Il me proposa de prendre la vie de l’animal, après une brève hésitation j’ai accepté. J’ai parlé quelques minutes avec l’animal couteau à la main . Je l’ai rassurer et expliquer que ma famille avais besoin de sa viande et que mon ami n’avais plus manger depuis bien longtemps. Mon couteaux bien aiguiser à facilement découper la trachée et les carotides, l’animal mis une minutes environ a mourir. Le sentiment que j’ai ressenti est difficile a décrire, beaucoup d’émotion en tranchant la gorge et de voir l’animal mourir ( on ne regarde plus la viande de la même manière après cela) mais il est vrai que j’étais fier d’avoir pris moi meme la vie de l’animal que ma famille allait manger. Nous sommes rentré au camps et avons comme à chaque fois partager la nourriture. Dogu me donna la peau de l’animal.

Après deux mois passé à Samotrakis, Dogu continua sa route et nous l’avons quitté avec le sentiment d’avoir fait une des rencontre les plus exceptionnel de ces quatre années de voyages. C’est donc avec beaucoup d’émotion que nous lui avons souhaiter bonne route. Nous décidâmes ensuite de repasser par la Belgique pour les fêtes de fin d’années, cela faisait déjà 5 ans que nous n’y étions pas passé à cette période.

Après un voyage de retour rapide et très fatiguant, nous sommes arrivé en Belgique début décembre. Nous avons voyagé comme d’habitude en transport en commun. De Samotrakis nous avons pris le ferry pour Alexandroúpolis, bus pour Kavala, bus pour Sofia, bus Sofia Budapest en passant par la Serbie , le train Budapest Munich, train Munich Frankfort, train Francfort Bruxelles.

Une fois Noël passé, nous devions repartir,mais un magnifique projet nous a été proposé au sein de la famille. Notre famille c’est également agrandie avec l’arrivée de “FIDGI” notre chien adopté en Belgique. Nous repartirons donc à 6 vers la Grèce via la France et l’Italie. Nous marcherons en Grèce avec le moins d’affaires possible (mélange de buschcraft et randonnée), mais cela c’est pour un prochain post…

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